22 juin 2013

Mosaïcultures internationales de Montréal


Sous le thème Terre d’espérance, la métropole accueille pour la troisième fois la compétition amicale des Mosaïcultures internationales, du 22 juin au 29 septembre 2013.

Cet événement horticole exceptionnel est présenté dans un dossier de la revue des Amis du Jardin botanique de Montréal : Quatre-Temps (vol. 37, n° 2, été 2013, ISSN 0820-5515, p. 11-42).

Le dossier sur L’art des mosaïcultures, entre métal et pétales contient une douzaine d’articles abordant plusieurs facettes :

- Une approche novatrice et audacieuse (éditorial de Gilles Vincent)
- Historique d’un art séculaire (Lise Cormier et Roger Beer)
- Les défis de l’organisation (Renée Gaudette)
- Trois œuvres poétiques (Nicolas Champagne)
- L’équipe de production (André Dumont)
- Genèse de L’homme qui plantait des arbres (Lise Cormier)
- Statistiques étonnantes (Marie-Hélène Crosetière et Jacques Goldstyn)
- Les mosaïcultures en Chine (Yunhua Hu, traduction de Gao Fang)
- Lise Cormier, instigatrice des MIM (André Dumont)
- La sélection des plantes (Luc Thériault)
- Des conseils pour les amateurs (Renée Gaudette)
- Un événement écoresponsable (Ronald Jean-Gilles).

C’est un rendez-vous!

Référence

La revue Quatre-Temps peut être consultée dans les Bibliothèques de Montréal et à la Grande Bibliothèque de BAnQ, ainsi que dans plusieurs bibliothèques publiques françaises.

Image (Claude Trudel)

Une histoire vraie

Une Chinoise élégante tenant une grue élancée. L’image est forte, car cet oiseau est emblématique dans la culture chinoise : un symbole de longévité et de sagesse. Par contre, cette mosaïculture évoque le destin tragique d’une jeune fille passionnée des grues qui s’est noyée en sauvant la vie d’une grue.

Photos (Claude Trudel)

Photos urbaines : 025 - 030 - 037 - 043 - 060 - 069 - 097 - 102

Sur la Toile

Amis du Jardin botanique de Montréal (AJBM)
Jardin botanique de Montréal (JBM)
Mosaïcultures internationales de Montréal (MIM 2013)

Des Mosaïcultures grandioses avec des plantes d’ici (Lise Gobeille, Le Devoir, 22 juin 2013)

Le quotidien Le Devoir peut être consulté dans les Bibliothèques de Montréal et à la Grande Bibliothèque (BAnQ).

Relâche

Peu d'articles serons publiés pendant la saison estivale sur le blogue Trouvailles . Bon été à toutes les lectrices et à tous les lecteurs du blogue!

18 juin 2013

Les géographes de cabinet

Les éditions Autrement viennent de publier un superbe livre sur les Artistes de la carte. Le premier chapitre est consacré aux géographes de cabinet. Rédigé par Lucile Haguet, il est complété par des encadrés de Lucile Haguet (Ptolémée), Catherine Hofmann (commerce des cartes) et Jean-Marc Besse (Vermeer).

L’introduction du chapitre met en relief le travail méticuleux et précis des géographes de cabinet par rapport aux sources des explorateurs de terrain. Les parties suivantes présentent différents volet sur les artistes de la carte.

Les géographes de cabinet utilisent peu d’instruments, mais ils recourent à plusieurs sources documentaires : livres de diverses disciplines, documents anciens et contemporains, manuscrits inédits, témoignages de voyageurs, etc.

Ces savants sont rarement issus de familles fortunés : Mercator (fils de cordonnier), Ortelius (fils d’un homme d’affaires), Sanson (fils de négociant), Vaugondy (fils d’un fabriquant de soierie), Anville (fils d’un maître tailleur d’habits). Ils ont souvent connu un intérêt précoce pour la cartographie.

Les géographes de cabinet suivent sensiblement la même méthode de travail : 1° recherche et accumulation de documents, 2° analyse et critique des sources, 3° synthèse et mise en forme graphique.

La production cartographique est coûteuse et rares sont les géographes à avoir fait fortune. Ils doivent s’adonner au commerce de leurs cartes, obtenir des commandes de cartes, enseigner des leçons de géographie à des nobles, bénéficier de mécénat princier ou royal, recevoir des pensions scientifiques.

Le travail des géographes de cabinet est généralement apprécié, mais il est souvent critiqué par des voyageurs et des géographes de terrain.

Dans la bibliographie, l’auteure cite à juste titre l’ouvrage exemplaire de Nelson-Martin Dawson, L’Atelier Delisle. L’Amérique du Nord sur la table à dessin (Québec : Septentrion, 2000).

Cartes

Plusieurs documents cartographiques reproduits dans l’étude de Lucile Haguet peuvent être consultés sur la Toile :

Égypte (Abraham Ortelius, 1565)
Pôle Nord (Gérard Mercator, 1595)
Patriarcat de Jérusalem (Jean-Baptiste d’Anville, 1732)
Province de Quito (Jean-Baptise d’Anville, 1750)

D’autres illustrations du chapitre I sont aussi disponibles :

Claude Ptolémée (16e siècle)
Abraham Orteliun (Paul Rubens, 1633)
L’Astronome (Johannes Vermeer, 1668)
Le Géographe (Johannes Vermeer, 1669)

Référence

Haguet, Lucile. – « Les géographes de cabinet, XVIe-XVIIIe siècle. De l’humanisme à l’érudit des Lumières ». – dans Hofmann, Catherine, dir. – Artistes de la carte. De la Renaissance au XXIe siècle. L’explorateur, le stratège, le géographe. – Préface de Sylvain Tesson. – Paris : Éditions Autrement, 2012. – 223p. – ISBN 978-2-7467-3066-3. – BAnQ et Bibliothèques de Montréal : 526.0903 A7917 2012. – P. 12-43.

Article connexe

Géographes de cabinet

14 juin 2013

Le sable et ses mystères

Les Suisses Jacques Lapaire, arénophile, et Paul Miéville, spécialiste de photographie au microscope, viennent de publier un livre fascinant sur le monde merveilleux des sables.

L’ouvrage est abondamment illustré par des photos légendées. Il contient deux parties.

La première partie porte sur la nature des sables :

- définition : grains ayant entre 0,0625 millimètre et 2 millimètres
- types de roches : magmatiques, sédimentaires et métamorphiques
- exemple d’un grain de quartz
- autres constituants du sable : des débris de coquillages, d’oursins, de corail, des larves de phryganes, des foraminifères
- propriétés particulières
- usages pratiques.

La seconde partie présente le monde des collectionneurs :

- récolte des sables : sols, moraines, cours d’eau, plages, déserts, faluns, volcans
- diversité de minéraux trouvés dans les sables
- lavage des sables
- constitution d’une collection : échanges, bourses, exemples de grandes collections, gratuité, éthique
- matériel pour la récolte, l’étude et l’analyse
- connaissance des échantillons : types de grains et propriétés physiques
- classement : matériel de rangement, cartothèque (catalogue), base de données
- créations artistiques : dessins et tableaux, sculptures, arénaglyphes.

Le guide est complété par une table des matières détaillées, une bibliographie, des remerciements, des notices biographiques des auteurs et un répertoire de sites, dont celui de la base de données MINER crée par Jacques Lapaire.

Référence

Lapaire, Jacques; Miéville, Paul. – Le sable et ses mystères. – Préface de Nicolas Meisser. – Sète et Orléans : Nouvelles Presses du Languedoc et BRGM, 2012. – 128p. – ISBN 978-2-3541-4079-3. – BAnQ : 552.622 L299s 2012.

Club de minéralogie de Montréal

Les curieux et les arénophiles pourront visiter la collection de sables du Club de minéralogie de Montréal.

10 juin 2013

Développer la médiation documentaire numérique

Cette boîte à outils a pour ambition de vous donner des repères et des sources d’inspiration dans ce domaine. Après une délimitation du périmètre de la médiation documentaire numérique, vous trouverez d’abord des articles méthodologiques et synthétiques sur la question pour terminer avec plusieurs exemples destinés à donner des pistes de mise en œuvre.

Sous la direction de Xavier Galaup, les Presses de l’École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques (ENSSIB) mettent à la disposition de tous acteurs des domaines de la culture et de l’éducation un répertoire d’expériences de médiation documentaire numérique.

Le guide est constitué de quatre parties :

1° - Le périmètre de la médiation numérique documentaire

2° - Construire son projet de médiation numérique documentaire

3° - Se former et accompagner les équipes

4° - Interagir en ligne, produire des contenus, partager

Le livre est complété par un mémento, un glossaire, une bibliographie, une liste des illustrations et la liste des auteurs.

Avant la lecture de cet ouvrage, les lecteurs intéressés pourront explorer quelques exemples de projets expliqués longuement dans cette boîte à outils :

- Médiathèque intercommunale Ouest Provence (MIOP), avec les outils Koha et Typo3, par Jérôme Pouchol

- BiblioMab, un blogue autour des livres anciens et des bibliothèques, par Léo Mabmacien (pseudonyme d’un bibliothécaire)

- Buboblog, le blogue des bibliothèques du service commun de documentation (SCD) de l’université de Bretagne occidentale (UBO), avec l’outil Wordpress, par Perrine Helly

- CherMedia, un blogue collectif servant d’agora aux bibliothécaires du Cher, par Christine Perrichon

- Points d’actu, une publication collective produite par la Bibliothèque municipale de Lyon (BmL), avec l’outil SPIP-Agora, par Bertrand Calenge

- Le Blog des Blogs, le blogue de la Médiathèque de Quimperlé, avec les outils Blogspot et Facebook, par Pascal Thibault

Sur le même sujet, les lecteurs québécois et étrangers pourront aussi explorer quelques réalisations québécoises :

- Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)

- Espace B (Blogue des Bibliothèques publiques de Montréal)

- InfoSphère (Outil de formation produit par les Bibliothèques de l’UQÀM)

- Musée McCord (Musée d’histoire de Montréal)

Référence

Galaup, Xavier, dir. – Développer la médiation documentaire numérique. – Paris : Presses de l’ENSSIB, 2012. – 228p. – ISBN 978-2-910227-99-9. – BAnQ : 025.04 D4899 2012. – [Citation, p. 14].

Site

Développer la médiation documentaire numérique (Présentation, Lire en ligne, Auteurs, Bonus Web)

06 juin 2013

Le philtre bleu | Jean Féron

Ce polar érotique compte huit chapitres. Il se déroule d’une façon linéaire. Les portraits des personnages sont détaillés, tout comme le mobilier d’un bureau de détective et celui d’une maison bourgeoise. Le tout nous permet de découvrir les gens et l’environnement du début du 20e siècle dans la métropole.

Le style est alerte, à la manière d’Edgar Allan Poe :

La pendule tinta neuf heures.
Au dernier coup du timbre, un hurlement diabolique fit trembler l’espace.
Derrière l’écran, les trois agents frémirent.
Un silence plus morne, plus étouffant suivit.
Dix minutes passèrent.

L’auteur semble divulguer des indices assez tôt dans le récit, mais il faut poursuivre la lecture… Car le lecteur ne saurait anticiper la suite…

Les effets stylistiques suscitant l’effroi s’intensifient et atteignent leur comble dans le chapitre sept… Le dénouement est aussi surprenant qu’hallucinant.

Ce roman policier, imaginatif et érotique, est étonnant. Sa lecture est fort agréable!

Auteur et péritexte

Le roman fantastique de Joseph-Marc Octave Antoine (1881-1946) a été publié en 1924, chez Édouard Garand, sous le pseudonyme de Jean Féron.

L’ouvrage est maintenant réédité dans un format convivial par Moult Éditions. La préface de l’éditeur Jasmin Miville-Allard présente brièvement Féron et les singularités de son roman Le philtre bleu. La réédition est complétée par une postface de Christian Lacombe.

Christian Lacombe, dans sa postface, souligne le caractère novateur de l’œuvre de Féron dans l’histoire littéraire du Canada francophone : La fascination du lecteur s’effectue par l’émotion éprouvée et cela renvoie à la maîtrise de l’écrivain. Il conclue ainsi son analyse du roman : À ses héros détectives comme à ses lecteurs, l’auteur se joue des illusions de chacun, nous attire et nous fait entrevoir une possibilité érotique.

Référence

Féron, Jean. – Le philtre bleu : grand récit canadien. – Illustrations d’Albert Fournier. – Réédition. – Préface de l’éditeur Jasmin Miville-Allard. – Postface de Christian Lacombe. – Montréal : Moult Éditions, 2011. – x, 125p. – ISBN 978-2-9809-8227-9. – Cote BAnQ : Féron F367p. – [Citations, p. 79, 120 et 125].

Études

Biographie et œuvres (Dictionnaire des auteurs de langue française en Amérique du Nord)
Œuvres et études (Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec)

Article

Nadeau, Jean-François; Lalonde, Catherine. - « Québec érotique ». – Le Devoir, 16-17 juin 2012, p. F1-2. – [Le quotidien Le Devoir peut être consulté au rez-de-chaussée de la Grande Bibliothèque, dans la section des journaux].

Les auteurs présentent dans cet article une nouvelle étude sur la sexualité au Québec :

Warren, Jean-Philippe. – Une histoire des sexualités au Québec au XXe siècle. – Montréal : VHB éditeur, 2012. – 288p. – ISBN 978-2-89649-366-1. – Bibliothèques de Montréal et BAnQ : 306.70971409 H67322 2012.

02 juin 2013

Michel de Broin

L’exposition Michel de Broin se déroule au Musée d’art contemporain de Montréal (MACM), du 24 mai au 2 septembre 2013. Une trentaine d’œuvres singulières de cet artiste québécois sont présentées au public.

Avant de présenter un aperçu de cette exposition, soulignons que deux sculptures grandioses de Michel de Broin sont déjà bien connues du public montréalais : Révolutions (parc Maisonneuve-Cartier, station de métro Papineau) et L’Arc (en hommage à Salvador Allende, parc Jean-Drapeau, île Notre-Dame, jardins des Floralies, station de métro Jean-Drapeau).


MACM - Un texte de présentation nous introduit à la démarche de l’artiste, ainsi qu’à ses œuvres exposées dans six salles :

Salle obscure 1

Révolutions (maquette, 2010)
Cent pas (vidéo, 2 min 30 sec)

Salle 2

Embrasse-moi (1993-2013)
Solitude (2002)
Bagarre d’ivrognes (vidéo, 5 min 35 sec, 2011)
Matière en freinage (2006-2013)
Tenir sans servir c’est résister (2013)
Keep on Smoking (2005-2010)
Fumée (vidéo 2 min 50 sec, 2011)

Salle 3

Testudo (2009)
Trompe (2006)
Bleed (2009)
Pile (2010)
100 watts / 3 watts
Relief (2008-2012)

Salle obscure 4

Trancher dans la noirceur (vidéo, 4 min 2 sec, 2010)

Salle 5

Hurlement silencieux (2006)
L’abîme de la Liberté (2013)
Têtes de pioches (2013)
Sofia (2003)
Étant donnés (2013)
Objet perdu (2002-2013)

Salle 6

Objet perdu (salles 5/6)
L’étendue de l’abîme (2013)
La maîtresse de la tour Eiffel (vidéos, 2009)
Anthropométrie (2013)
Réparations (vidéo et installation, 2004)
Dead Star (2008)
Blowback (2013)

Appréciation

J’ai été impressionné par plusieurs œuvres, dont Trancher dans la noirceur. La vidéo de 4 minutes se déroule en quatre séquences : un paysage nocturne éclairé par de lointains lampadaires, un lampadaire au premier plan (insectes virevoltant près des lumières), arrivée d’un forgeron qui tronçonne et fait tomber le lampadaire, retour au paysage initial où git le lampadaire en premier plan.

Parmi les autres œuvres aussi étonnantes que saisissantes, notons les scènes suivantes : le mur blanc tapissé de pièces arrondies multicolores (Matière en freinage), la bicyclette circulant dans un cimetière tout en dégageant de la fumée (Keep on Smoking), la perceuse électrique d’où jailli des jets d’eau (Bleed), le fusil de chasse recourbé au-dessus d’un foyer de cheminée (Trompe), le bronze évoquant l’enseignement et le livre L’abîme de la liberté de Michel Freitag (L’abîme de la Liberté), le squelette d’une colonne vertébrale carrée (Têtes de pioches), la flamme surgissant d’un lavabo d’où l’eau s’écoule (Étant donnés), les amusantes explosions de bouteilles d’eau (Réparations), et les imposants canons reliés par un arc (Blowback).

Une exposition d'œuvres captivantes aux multiples significations!

Citations

[ 1 ] – Michel de Broin (Montréal, 1970) est un artiste multidisciplinaire qui explore les notions de résistance, de détournement et de recyclage avec un sens de l’humour cynique. Ses œuvres estompent souvent les distinctions entre maquette préliminaire, sculpture, vidéo, action et documentation photographique. Malgré ces chevauchements, de Broin fait preuve de cohérence : entre ses mains, les objets quotidiens – poubelles, lavabos, escaliers, outils électriques, bouteilles d’eau vides et lampadaires – peuvent devenir quelque peu agressifs, se replier sur eux-mêmes ou afficher une certaine vulnérabilité. La présente exposition, organisée par le Musée d’art contemporain de Montréal, est la première rétrospective muséale du travail de l’artiste à se tenir au Canada. Michel de Broin vit et travaille à Montréal.

Michel de Broin (Musée d’art contemporain de Montréal)

[ 2 ] – Une pointe d’humour, un clin d’œil séducteur et, surtout, cette volonté de révéler un élément discordant à l’intérieur d’un système. Avec Embrase-moi, il se penche sur la résistance électrique, instant où « les électrons se mobilisent pour produire un dégagement de chaleur ». « La chaleur est une perte, qui échappe au circuit électrique, explique-t-il. Je la vois comme une métaphore de la résistance sociale. La résistance est liée au système, au pouvoir. Et le pouvoir sans résistance ne peut pas circuler, n’agit pas. On l’a vu avec le printemps arabe. »

[ 3 ] – Parmi ses œuvres récentes, de Broin évoque L’abîme de la Liberté (2013) - titre emprunté à feu Michel Freitag, le professeur de philo qui a marqué le sculpteur pendant ses études à l’UQAM. Ce bronze représente la statue de la Liberté à l’envers. « En la retournant, je présente la Liberté pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une prouesse, un exploit, un défi à la gravité, alors que la Liberté de Bartholdi est une image de l’institution, rigide, très lourde. J’expose l’abîme, le vide, le creux, une notion de liberté plus près du défi. »

Un électron libre aux confins des genres (Michel de Broin célèbre ses 20 ans de carrière avec un solo majeur au MACM) (Jérôme Delgado, Le Devoir, 18 mai 2013)

Référence

Lanctôt, Mark ; Sherer, Daniel. – Michel de Broin. – Montréal : Musée d’art contemporain de Montréal, 2013. – BAnQ : à venir. – [Catalogue].

Sur la Toile

Michel de Broin (Site de l’artiste)
Musée d’art contemporain de Montréal (MACM)
Objets rebelles et utopies vacillantes (Marie-Ève Charron, Le Devoir, 20 juillet 2013)

Articles connexes

Introduction à l’œuvre de Michel Freitag

Image

Photo de Révolutions © Claude Trudel 2013